Pourquoi faire appel à la sophro en entreprise?
•Sophrologie en entreprise = Préparation mentale du/des dirigeants
•Les obligations auxquelles les dirigeants, les délégataires de pouvoir sont soumis deviennent de plus en plus strictes
•Les risques pesant sur les dirigeants et délégataires à titre personnel sont
« colossaux »
Oui la responsabilité pénale de l’employeur et du mandataire est de plus en plus souvent recherchée
A l’image des sportifs qui subissent énormément de pression mentale, les dirigeants sont également soumis à cela.
La sophrologie c’est aussi de la préparation mentale…. Ne vous en privez surtout pas!
•Sophrologie en entreprise = Discipline de l’attention
Pour accompagner vos salariés, entre autre chose sur :
•1/ Travail en équipe : Gestion des conflits, esprit collaboratif, améliorer l’état de méfiance
•2 /Adaptation aux changements : Organisation, process, retour 100% présentiel post COVID, gestion des difficultés télétravail/présentiel, burn-out….
•3/ Efficacité des collaborateurs : Performance, concentration
•4/ Image de marque employeur bienveillante – RSE
•5/ Dynamique autour de la QVCT : TMS, problème de sommeil, stress chronique
Les salariés sont de plus en plus attachés à l'équilibre vie privée/vie pro.
Encore plus avec toutes les contraintes portées par les changements successifs des protocoles sanitaires et des règles à imposer aux salariés.
Prendre le bien être de ses salariés en compte, c'est prendre soin de ses performances.
Rapport gagnant/gagnant
📍 Meilleur équilibre individuel = Meilleure performance collective
📍Meilleur climat social = Moins d'absentéisme, moins de risque psychosociaux donc moins de coûts directs & indirects associés
📍 Faible investissement mais Image de marque de l'employeur améliorée
#Sophrologie #sophrologue #préparationmentale #bienetreautravail
Les effets en chiffres de la pandémie .
Quelques chiffres de la crise Covid sur les salariés en entreprise.
Les chiffres à septembre 2021
Selon l’étude publiée par Malakoff Humanis, le nombre de salariés en arrêt de travail a augmenté de 30 % entre janvier et mai 2021, passant de 10 % des salariés en janvier à 13 % en mai. La Covid est la première cause d’arrêt tout au long de la période (46 % des arrêts : 12 % pour les cas diagnostiqués Covid et 34 % pour les arrêts dérogatoires). Le pic a été atteint en avril 2021 avec 52 % des arrêts liés à la Covid.
En excluant les arrêts liés à la Covid, les principaux motifs d’arrêt maladie sont les accidents ou traumatismes (21 %) et les troubles psychologiques (dépression, anxiété, stress, épuisement professionnel…) qui représentent 19 % des arrêts. Viennent ensuite les maladies graves et les troubles musculosquelettiques (12 % chacun).
En moyenne, 28 % des arrêts sur la période sont liés à des causes personnelles (maladie ordinaire, chirurgie, maladie grave ou chronique, troubles psychologiques…). Cette part a baissé, passant de 34 % en janvier à 24 % en mai, une baisse portée par la diminution des interventions chirurgicales, cause de 2 % des arrêts en mai contre 10 % en janvier.
Troubles psychologiques, accidents du travail, troubles musculosquelettiques, …, les causes professionnelles d’arrêt maladie (26% des arrêts en moyenne) ont légèrement augmenté passant de 24 % en janvier à 29 % en mai.
C’est dans le secteur de l’industrie et dans les entreprises de taille intermédiaire (50 à 249 salariés) que les salariés ont été les plus nombreux à s’arrêter. Les arrêts pour causes professionnelles ont été plus nombreux au sein des plus grandes entreprises (37 % dans les entreprises de 250 à 999 salariés et 34 % dans les entreprises de plus de 1 000 salariés) et dans certains secteurs de l’industrie (automobile, agro-alimentaire, pharmacie). Les arrêts pour motifs psychologiques ont été plus nombreux dans les plus grandes entreprises, dans l’industrie pharmaceutique et dans les services aux entreprises.
La proportion d’arrêts de travail chez les managers est plus importante que chez les non-managers (17 % vs 1 1 % pour les non-managers). Ces arrêts sont davantage liés à des motifs professionnels : 32 % vs 26% pour l’ensemble des salariés.
Enfin, chaque mois, de janvier à mai 2021, près d’un salarié sur dix (15 % pour les managers) a déclaré envisager de recourir à un arrêt maladie dans les mois à venir.
Si 65 % des salariés estiment être en bonne santé, près d’un salarié sur dix évalue négativement sa santé mentale aujourd’hui. Et 41 % des personnes interrogées estiment que la crise sanitaire a eu un effet plutôt négatif sur leur santé mentale. Ce sentiment est plus marqué chez les salariés ayant vécu une situation d’isolement social (35 % des salariés déclarent se sentir isolés), une situation financière compliquée (32 %), un deuil (26 %), une situation difficile sur le plan familial ou du logement. A titre d’exemple, 19 % des salariés qui connaissent ou ont connu une situation d’isolement social au cours des douze derniers mois qualifient leur état de santé mentale comme mauvais (vs 9 % pour l’ensemble des salariés). Les femmes sont également plus concernées par l’impact négatif de la crise sur la santé mentale (47 % vs 41 % pour l’ensemble des salariés), de même que les cadres (46 %), et les parents isolés (48 %).
La crise a par ailleurs amplifié des états ou situations qui peuvent avoir un impact négatif sur la santé mentale des salariés : 29 % des salariés ont ressenti davantage de stress, et 14 % déclarent avoir développé des habitudes addictives (tabac, alcool…).
Du point de vue professionnel, si 82 % des salariés se déclarent satisfaits de leur travail, l’analyse plus détaillée de leurs perceptions révèle là-aussi des facteurs de risques psychologiques : 35 % des salariés déclarent être stressés et 24 % disent être à bout de force, et 30 % éprouvent un sentiment d’insécurité professionnelle. Les salariés se plaignent également de leur rythme et de leur charge de travail : 56 % déclarent avoir un rythme soutenu et 37 % devoir travailler dans l’urgence.
Parmi les dimensions professionnelles qui peuvent avoir des répercussions sur la santé mentale des salariés, on note également :
Le manque de reconnaissance : 19 % des salariés qui déplorent un manque de reconnaissance de la part de leur manager jugent leur santé mentale mauvaise vs 9 % pour l’ensemble des salariés.
Le manque de clarté de leur rôle et de leurs missions : 19 % des salariés qui déclarent ne pas savoir exactement ce qu’on attend d’eux jugent leur santé mentale mauvaise.
La charge de travail : 18 % des salariés qui indiquent ne pas disposer de suffisamment de temps pour accomplir leurs tâches jugent leur santé mentale mauvaise.
Selon les salariés, les entreprises ne semblent pas suffisamment préoccupées par cette situation. 43 % d’entre eux estiment que leur entreprise ne prend pas assez en compte les situations de souffrance psychologique vécues par leurs salariés. Cette tendance est plus marquée dans les petites entreprises : 45 % dans les entreprises de moins de 250 salariés contre 34 % pour les entreprises de plus de 1 000 salariés.
Source Malakoff Humanis, Etude sur l'impact de la crise sanitaire sur l'absentéisme en entreprise et les risques psycho-sociaux - septembre 2021